Selon l'Unédic, 30.000 chômeurs, surtout des jeunes et des femmes, sont victimes d'un effet pervers des droits rechargeables au chômage. En effet, depuis leur lancement en octobre, de nombreux chômeu
Selon l'Unédic, 30.000 chômeurs, surtout des jeunes et des femmes, sont victimes d'un effet pervers des droits rechargeables au chômage.
En effet, depuis leur lancement en octobre, de nombreux chômeurs disent être victimes d'un effet néfaste de ce mécanisme, qui vise à encourager à la reprise d'emploi. Il peut effectivement amener des chômeurs ayant des reliquats de droits de précédentes périodes de travail à être « coincés » avec une allocation bien moindre que celle à laquelle leur dernier emploi leur donne droit et qu'ils s'attendaient évidemment à toucher.
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